Neil Druckmann signe la post-face de l’artbook de A Plague Tale: Requiem

 

Considéré comme le The Last of Us français, A Plague Tale : Innocence, sorti le 14 mai 2019, a beaucoup fait parler de lui, au point d’avoir un récit de Neil Druckmann partageant son témoignage vis-à-vis du jeu.

Dans son récit, il met surtout en avant le fait que le premier opus est débordant de détails, qualifiant le monde et les personnages d’un océan de passion.
Quant à l’artbook, les illustrations sont pour lui des plus minutieuses qu’il ait vu pour un jeu et que le talent de niveau pour le livre est phénoménal.
Il salue également le fait que l’artbook mette en valeur une belle histoire racontée par un jeu fantastique.

 » A Plague Tale : Innocence est l’un des rares jeux à soulever des montagnes avec très peu de choses… »

 » A Plague Tale : Innocence s’intéresse avant tout à l’intimité, à l’amour inconditionnel que se portent un frère et une sœur. »

Si l’envie vous en dit suite aux propos de Neil Druckmann, l’artbook est actuellement disponible en précommande jusqu’au 17/10/22 et sortira le 18/10 de cette même année.

En illustration : les nouveaux décors, personnages et menaces du jeu. Les concepts arts et de design baignés dans des rendus de réalisme, commentés par les équipes créatives du jeu. L’artbook fera en tout 196 pages.
On peut aussi y retrouver des interviews de David Dedeine (cofondateur et directeur créatif d’Asobo Studio) et de Kevin Choteau (Game director) et plein d’autres.

 

A Plague Tale : Innocence se passe dans une France du Moyen-Âge, ravagée par la peste noire et la guerre de Cent Ans. Ce jeu raconte l’histoire de deux jeunes orphelins, Amicia et son jeune frère Hugo, deux orphelins livrés à eux-mêmes. Tout deux contraints de survivre aux hordes de rats et pourchassés par l’inquisition.

C’est un jeu solo d’action-aventure et d’infiltration développé par Asobo Studio qui est un studio… français !

Des similitudes avec The Last of Us ?

On l’a souvent vu passer, mais apparemment la licence A Plague Tale serait LE The Last of Us français.

Joel est considéré comme le personnage « fort » du premier opus. Il a facilement l’avantage sur les ennemis rencontrés et obtient des armes et projectiles au fil du jeu.
Au moment où Joel se blesse grièvement, on bascule vers le contrôle d’Ellie. Cette dernière n’a pas une artillerie à elle même contrairement à Joel. Cela a apporté au gameplay une certaine difficulté et vulnérabilité.
Dans A Plague Tale : Innocence, on retrouve ce même concept. Pendant tout le jeu, on y contrôle Amicia, la jeune fille de 15 ans. Mais à une certaine séquence on joue Hugo, son petit frère de 5 ans.

Dans l’écriture, on se met dans la peau dans un duo sœur/frère qui n’est pas particulièrement proche. La discrétion, quelques pierres et projectiles, seront à la portée d’Amicia. Hugo lui peut se faufiler dans de petits trous grâce à sa petite taille. Ce qui sera très utile pour ouvrir des portes à sa grande sœur.
Pour améliorer son arme de jet et la capacité de sa sacoche, un système de craft est présent. De même pour ses chaussures pour acquérir plus de discrétion !
Il y a aussi un certain rapprochement entre l’Inquisition et la peste noire. On pense régime autoritaire de la FEDRA et à l’univers post-apocalyptique de The Last of Us.

Joel et Ellie ne s’appréciaient pas au début du premier opus. Joel étant dans l’optique de juste faire son travail et de récupérer ses armes.
Avant que Joel ne donne le pistolet à Ellie, elle utilisait un couteau en cas d’urgence mais était majoritairement cachée pour laisser Joel s’occuper des ennemis. Elle pouvait escalader ou se faufiler dans des endroits inatteignable pour Joel, tout comme Hugo dans A Plague Tale.

Neil Druckmann a même entendu dire que les jeux Naughty Dog ont inspiré A Plague Tale et qu’il en était honoré.

Les Artbook chez Naughty Dog

Vous pouvez retrouver les différents artbooks de la licence, rendez vous sur la boutique Naughty Dog Mag’ !

 

On se retrouve très vite chez Naughty Dog Mag’.